FRAGMENT 1
Sans raison apparente
Quelque part en novembre. Fenêtre ouverte, hiver encore trop doux. Les étourneaux sont à nouveau là, dans leur plumage de frimas... Je dois fermer la fenêtre ; mes doigts frisent les touches du clavier comme jamais ils n’ont hésité. Difficile de poser ce premier message, point d’ancrage entre vingt années d’autisme et peut-être encore vingt à venir...